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à venir Conférence sur la sécurité numérique

Innovergne signale une conférence sur un sujet qui concerne toutes les entreprises: la sécurié et les risques numériques

Après la publication en 2015 d'un rapport de l'Office Parlementaire d'Evaluation  des choix scientifiques et technologiques,  Michel BECQ, Responsable du secrétariat de l’OPECST au Sénat, en présentera les points clés .

Mardi 8 novembre 2016 de 15h à 16h30
Maison des Sciences de l'Homme - Amphi 219 - 4 rue Ledru, 63000 Clermont-Fd

Pour y assister, s' inscrire obligatoirement  http://www.innovergne.fr/securite-numerique-et-risques-conference-de-michel-becq-opecst

sinon, la lecture des rapports de l'OPECST est souvent trés riche,  voici les lien de consultation des deux parties du rapport

http://www.senat.fr/rap/r14-271-1/r14-271-11.pdf

http://www.senat.fr/rap/r14-271-2/r14-271-21.pdf

 

 

Une consultation européenne à deux entrées pour le developpement des start-up

 

Vous pouvez participer de deux façons  complémentaires à la consultation organisée par l'Union Européenne au sujet du développement des start-up (Start-up Initiative) du 31 mars au 31 juillet 2016. L'objectif est de receuillir les avis sur l'environnement des "jeunes pousses" mais aussi de formuler des propositions .

 Jusqu'au 10 juillet, en ligne sur le site https://www.europe-des-startups.eu/project/titre-de-la-consultation/consultation/consultation, Madame la secrétaire d'état au numérique nous invite à nous exprimer pour élaborer la réponse française. Le secrétariat a fait douze propositions qui peuvent être commentées, enrichies et "likées" directement sur le site. L'internaute peut aussi proposer d'autres idées. l'intéret de cette plateforme est de pouvoir suivre en temps réel l'émergence des opinions.

Par ailleurs, l'ensemble des parties peut remplir le questionnaire complet du site de l'Union Européenne jusqu'au 31 juillet  http://ec.europa.eu/growth/tools-databases/newsroom/cf/itemdetail.cfm?item_id=8723&lang=fr&title=Public%2Dconsultation%2Dunder%2Dthe%2DStart%2Dup%2DInitiative

Lien pour le questionnaire https://ec.europa.eu/eusurvey/runner/e5468960-9500-499f-b2a0-94d1430a0f6c?draftid=19318235-0b34-45c2-98ee-1b6acb36f146&surveylanguage=FR Là, il faudra attendre la publication de la synthèse pour connaitre les différentes propositions.

La participation à des consultations publiques est un des moyens de faire du lobbying et d'influer sur les décisions qui nous concernent . On peut cependant s'interroger sur la vraie portée de la participation civile: Exercice de communication ou vrai réceptacle de bonnes idées ?

DANS LE DOUTE A VOS CLAVIERS!

 

Agilité et veille

Le petit-dejeuner introductif du Forum "Création et reprise " de Clermont avait pour terme l'agilité.

Développer son offre en partant d'une idée mais en sachant pivoter si l'environnement évolue apparait plus que jamais nécessaire.L'agilité est une qualité qui ne se décrete pas mais se cultive. Jeunesse, effectifs restreints, les start-up ont un mode d'organisation particulièrement favorable à l'agilité et heureusement, n'ayant pas  encore trouvé leur marché récurrent, elles sont encore fragiles. Les entreprises plus matures sont aussi concernées: les mutations de l'environnement sont de plus en plus rapides et  ne laissent plus le choix. L'écoute client et la curiosité doivent être stimulées .Toute entreprise maitrisant une culture de veille stratégique sera à même de pivoter en douceur.

Les partenariats dans l'open innovation,

 

En organisant hier un débat sur les relations entre petites (David) et grandes (Goliath) entreprises, le Bivouac, nouveau quartier numérique Auvergnat, a su attirer un public de start-up  et de grosses entreprises interpellées par cette question récurrente et trés pertinente. La collabotaton est un facteur bien reconnu d'innovation mais comment la mener pratiquement ? Le cabinet "All you need for Growth" a planté le contexte et rappelé quelques fondamentaux pour des collaborations réussies.

L'apport financier immédiat n'est plus suffisant

Il semble que le bouclage des tours de table financiers successifs ne mette plus, même provisoirement, la start-up à l'abri des soucis. La barrière à l'entrée de certains marchés n'a souvent pas le temps d'être sécurisée que les concurrents émergent déjà avec plus de moyens. L'adossement à un grand groupe peut être raisonné comme une façon de grandir sous une aile protectrice tout en s'adaptant.

Les partenariats entre des entreprises de cultures différentes, basées les unes sur les processus et les autres sur l'agilité, se préparent.

Il s'agit de manager l'interculturel. Pour dépasser les inquiétudes quant aux risques financiers, la perte d'indépendance ou le pillage, les deux partenaires doivent définir en interne  leurs objectifs et les moyens alloués ou nécessaires. Pour les grandes entreprises, cela necéssite donc un minimum de clarté sur leurs intérêts puis la mise en place d'une organisation dédiée et  reliée aux décideurs stratégiques et opérationnels pour pouvoir apporter ce qui a été promis. Lors de la négociation, la clarté sur les objectifs  de chacun et les moyens évitera les soucis utltérieurs et les malentendus qui peuvent ronger la relation future même avec les meilleures intentions. Je suis une start-up, de quoi ai-je besoin? d'un outil de protypage, de facilité d'industrialisation, de cash, de clients, de notoriété et de capacité de lobbying, de réseau, de compétences....?

Différents modes de collaborations plus ou moins engageant existent.

Les fonds de Corporate Venture ont progressé en France, même si ils restent en proportion de notre PIB moins importants qu'aux Etats-Unis d'Amérique,  mais bien d'autres modes de collaboration sont possibles. Un auditeur soulignait  l'importance de démarrer avec des petites réalisations "qui marchent" pour apprendre à se connaitre. Les principaux modes de collaboration ont été énumérés à titre indicatif même si  selon "All your need for Growth", il faut savoir inventer le cadre convient le mieux aux objectifs des partenaires.

La création de spin-off, le mécénat de compétences, la création d'évenements pour mettre en valeur des start-up  autour d'un écosystème offrent avec des investissements réduits en capital ou compétence des possibilités de veille et d'identification des tendances, de communication et  de stimulation de son écosytème. La start-up en tirera un support financier, des conseils, un réseau ou une visibilité.

La grande entreprise peut s'investir de façon plus importante en créant des incubateurs, lab ou accelerateurs internes  dans l'idée parfois de pouvoir en tirer partie pour faire évoluer son business model. Ce système plus perturbant pour la culture d'entreprise peut être recherché pour stimuler l'esprit d'entreprise et d'innovation des équipes, la start-up y trouvera un engagement plus perenne mais parfois moins de liberté.

Les partenariats commerciaux et start-up permettent aux start-up de grandir de façon plus indépendante et ne sont pas à négiger. Ouverture de son capital à du Corporate venture capital ou fusion/vente sont aussi envisageables mais plus impliquantes.

Le cadre contractuel clair et précis et la loyauté sont ensuite indispensables au succès.

Le point de vue d'Adhocinfos:  le choix du partenaire et l'intérêt d'organiser une veille

La préparation doit inclure si possible une cartographie précise des potentialités et de l'environnement. Un auditeur se demandait si les rapprochements avec les start -up sont réalistes pour les PME et ETI. Si il y a là aussi un intérê évident,  la réponse a été que jusqu'à présent, ils sont peu fréquents. Le temps disponible pour identifier le bon partenaire est encore plus contraint pour les petites équipes dirigeantes de ces structures.

A mon sens, dans une PME, l'organisation d une veille sur ces sujets peut permettre de gagner du temps et de détecter des opportunités partenariales et est réalisable si le dirigeant est convaincu. La veille pourra se faire à partir des sources documentaires  bien ciblées et par la construction sur le long terme d'un réseau d'informateurs ou le recours à des prestataires. Pour la start-up, l'analyse du coeur de métiers des partenaires potentiels est indispensable pour évaluer les risques et savoir se placer au plus juste des intérêts de son futur mentor.

Ma conclusion sera classique: 100% de ceux qui ont réussi, ont essayé,  lancez-vous,  mais sans candeur!

Autre information à portée auvergnate: l'association "le connecteur"  a notamment pour objectif l'organisation d'évenement pour favoriser les échanges entre entreprises et favoriser l'innovation ouverte. http://www.leconnecteur.org/

La veille pour le webmarketing des e-commerçants et marques

 Le salon Connecsud de Montpellier, rassemblait le 1 juin 2016 de belles entreprises proposant notamment des solutions digitales intéressants la veille .

Des outils de veille pour affiner son webmarketing: Alors que le ecommerce se developpe, il devient aussi de plus en plus concurrentiel. Le marketing opérationnel évolue et se professionnalise en webmarketing .Le nombre important de spécialistes du référencement, de la publicité en ligne ou du webmarketing, présents sur les stand et les conférences témoignait des besoins cruciaux des commerçants et marques dans ces domaines.

Deux sociétes, présentes hier, apportent des outils pour faciliter la veille tarifaire sur internet (Price Observatory http://www.price-observatory.com/ ) ou plus largement la surveillance des actions de webmarketing des concurrents (BSWEB-Human responsive  http://www.bsweb.fr/). Ces solutions permettent aux e-commerçants et aux marques  d'être au courant des actions de leurs concurrents ou distributeurs et de pouvoir réagir trés vite dans leur politique de prix ou de communication.

Pour gérer le référencement de son site internet, analyser son positionnement mots clé, on peut utiliser les solutions serach marketing "seeUrank "et "yooda insight" .(yooda https://www.yooda.com/)

Pour des plus grosses structures, Jalios, un des plus gros acteurs des solutions de reseaux sociaux d'entreprises, facilite le partage de l'information au travers de ces outils collaboratifs.

Mais les outils ne font pas tout, une fois l'information disponible, l'entreprise doit apprendre à en tirer partie pour adapter ses prix, sa stratégie de communication ou ses autres décisions opérationnelles et strratégiques. Les différents acteurs ont partagé avec moi l'importance de l'organisation pour traiter l'information. L'accompagnement à l'exploitation des outils avec en premier lieu une définition des objectifs puis la création de recommandations trés opérationnelles peut se faire en interne ou par du conseil externe.

 

 

La digitalisation des RH

Les salons iexpo, elearning expo et solutions RH se tenaient conjointement à la porte de Versailles en mars dernier.

Pour le coté "veille", j'ai vu peu de nouveautés du coté des solutions de crawling d'informations mais des développements originaux dans  l'analyse des données:.  cas d'application de géolocalisation et de visualisation des données exploré par Coexcel ou exploration intelligente des questions des utilisateurs par Kapitaliser, moteur social autoapprenant.

Mais le vrai changement est dans l'abondance des solutions RH et les évolutions des RSE (réseaux sociaux d'entreprises). La maitre mot est "intelligence collective".Ces outils sont proposés pour partager de la veille, impliquer les collaborateurs, stimuler l'innovation dans l'entreprise et faire de la formation sous support digital. Le secteur des RH semble inspirer les entrepreneurs du digital: l'offre est riche pour accompagner la création et la mise en avant de modules de e-learning , créer des sérious game, numériser les recrutements de l'analyse des CV à l'accompagnement des nouveaux collaborateurs puis à la "gestion des talents". Une offre variée qui cherche à améliorer la productivité et qui fera sans doute évoluer ces métiers. Ces outils sont tabous pour certains, l'usage montrera si cela correspond à un vrai besoin, si les entreprises petites ou grandes s'y investiront et si un bon équilibre entre l'utilisation de la technique et le maintien de rapports humains est possible, c'est à suivre.... Pour finir, je peux citer le secteur du "team building" où  des acteurs trés inventifs qui font jouer les collaborateurs avec des approches  traditionnelles "artisitiques" ou "sportives"  semblaient garder le sourire.

Les données de l’agriculture valent de l’or, elles ont besoin d’Intelligence économique

La maitrise des données issues de l’internet des objets en agriculture ouvre des perspectives nouvelles ce qui n’a pas échappé aux parlementaires. Le Rapport de M. Bruno SIDO, sous forme du PV d’une audition passionnante d’experts, intitulé « La place du traitement massif des données (big data) dans l'agriculture : situation et perspectives dans ce domaine » est disponible sur le site du sénat. http://www.senat.fr/notice-rapport/2014/r14-614-notice.html

Parmi les opportunités, on retiendra notamment que :

  • Les outils d’aides à la décision (OAD) déjà très courant offrent de nouveaux services aux agriculteurs grâce à des capteurs de plus en plus sensibles et au croisement de données (géolocalisation, composition du sol , météo, état sanitaire etc.) et contribuent ainsi à une agriculture de plus en plus durable.
  • Les données captées ont de la valeur, elles peuvent être exploitées par des start-up pour créer de la valeur en région ou ailleurs à partir des données locales.

Mais en menace, il faut souligner la suprématie réelle actuelle des gros acteurs du numérique américains, qui rachètent d’ailleurs parfois des pépites françaises du traitement des  données. A partir du croisement des données météo et agricoles, Monsanto est ainsi rentré sur le marché de l’assurance agricole.

La propriété des données n’est en effet pas toujours claire. la captation des données se fait actuellement à l’insu des créateurs des données. Par la loi, on peut peut-être rendre obligatoire l’information des agriculteurs sur la nature des données transmises en temps réel aux propriétaires de solutions applicatives.

L’agriculture comme les sites industriels ne sont pas non plus à l’abri des cyber-attaques tant pour la captation illicites des données que dans le contrôle à distance des matériels.

Au-delà de la loi, Il est important d’orienter la formation vers les compétences et nouveaux métiers nécessaires à l’analyse des données (statistique, modèles….) et d’avoir une stratégie d’Influence dans ces domaines.

Les acteurs agricoles qui possèdent des données agricoles riches et les acteurs du numérique doivent se regrouper au niveau français et sans doute européen pour faire reconnaitre leurs standards techniques notamment d’interopérabilité afin de créer de la valeur sur le territoire.

Les fonds européens et le programme d’investissement d’avenir peuvent contribuer à financer des actions en Auvergne. Des acteurs publics et privés (industries et semences) et des spécialistes de l’analyse et de la confiance numérique se sont rassemblés pour travailler sur ces sujets et espèrent monter des projets avec l’appui du FEDER dans le cadre des domaines stratégiques DIS 2Systèmes agricoles durables et DIS 4 Traçabilité physique et numérique retenus de la stratégie de spécialisation intelligente de l’Auvergne. L’université de Clermont, présélectionnée attend le résultat de sa candidature à l’appel à projet i-site.

http://iccf.univ-bpclermont.fr/IMG/pdf/isite.pdf

Un dossier sur le lobbying

Le portail "vie-publique.fr"édité par la Direction de l’information légale et administrative a publié début septembre 2015, un dossier consacré au lobbying et à son encadrement juridique ; Il fait notamment état de l’avis de l’ONG Transparency International  qui dénonce un manque de traçabilité et de transparence dans les modes de décisions et ce,même lorsqu’il y a des consultations.

http://www.vie-publique.fr/actualite/dossier/rub1844/lobbying-france-pratique-voie-reconnaissance.html

 

Ouverture d'un Open Lab Exploration et Innovation

  L'Open Lab "Exploration et innovation" a été présenté lundi 11 mai  dans les locaux de l'IADT. Issu du programme de recherche "Management des situations extrêmes" du Centre de recherche Clermontois en gestion et management " (CRCGM) de l'Université d'Auvergne (UDA). Il vise à être un dispositif souple d'interaction entre les chercheurs et les PME. En partant du principe que les managers sont plus que jamais contraints d'adapter leurs méthodes à des environnements évolutifs et incertains, l'idée est venue aux chercheurs et à la CCI  d'appliquer leurs travaux au management de l'innovation avec des PME.

Un programme d'une quinzaine de conférences sur trois ans est monté avec le soutien des partenaires, une dizaine de PME actuellement,  le cluster Efficience industrielle, la CCI Auvergne et l'Association pour la gestion de la connaissance dans la société et les organisation (AGeSCO). Les thèmes seront larges: outils de gestion, créativité, gestion de la connaissance, cluster, mobilisation des experts..., les conférences seront filmées pour être librement consultables.

Gilles Garel, directeur de la Chaire "mangement de l'innovation" au Cnam de Paris a réalisé la conférence inaugurale sur le thème de " la fabrique de l'innovation", reprenant là , le titre de son ouvrage. J'ai retenu qu'il oppose Conception réglée à Innovation créative. Par ailleurs, il a cité et repris dans des exemples emblématiques comme le cas "swatch" quatre facteurs importants pour l'innovation: raisonner ensemble concepts et connaissances, réutiliser la connaissance, expérimenter et organiser un collectif large, improbable et intelligent.

Le public a soulevé ensuite quelques questions: le rôle  primordial des individus créatifs et la capacité de l'organisation à leur "faire de la place, la volonté de l'organisation à accepter le risque versus la notion de fiabilité, la gestion de la propriété de l'innovation dans les organisations ouvertes, ces divers sujets sont autant de pistes de discussion pour les futurs débats.

En réponse à une entreprise qui voulait savoir, me semble-t-il, si cet outil avait vocation à accompagner les entreprises, Pascal Lièvre, professeur au CRCGM, largement initiateur du projet, a souligné que l'Open Lab n'était pas figé et que son devenir dépendrait de son appropriation par les partenaires.

Pour conclure, je retiens l'engagement de ces PME auvergnates, des technologies de l'information mais aussi de secteurs productifs ou des services traditionnels  qui s'engagent dans un chemin qui n'est pas tracé. Cet outil rejoint d'autres expériences en faveur de l'innovation en Auvergne comme "Innovergne". Gageons qu'ici,  la rencontre improbable  entre les chercheurs, la maintenance industrielle, la fonderie d'art, le mobilier urbain, la gestion des données industrielles, les outils logiciels d'aide aux troubles de lecture, les métiers de la gestion privée, les solutions collaboratives et l'accastillage marin et sans doute d'autres,  va créer a minima de la diversité "génétique" intéréssante d'où émergera sans doute de innovation réunissant concepts créatifs et connaissances

Opportunités de cofinancement des projets des PME par les fonds structurels européens

Les régions sont devenues les autorités de gestion principales des fonds structurels européens en janvier 2014. La région Auvergne a présenté hier les grandes lignes des fonds structurels Européens  pour la programmation régionale et interrégionale 2014-2020.  Les différents outils: FEDER , FSE, FEADER permettent de cofinancer par des subventions ou des outils financiers  des projets d'entreprises, d'exploitants agricoles, de laboratoires de recherche, d'associaltions, de collectivités territoriales...

Les documents d'application des différentes mesures sont encore à finaliser et de nombreux appels à projets seront ouverts mais la région à déjà ouvert un site avec un formulaire pour recueillir les premières manifestations d'intéret. http://www.auvergne.fr/content/aideseuropeennes

Guide CGPME des bonnes pratiques informatiques

Pour visualiser 12 régles essentielles de sécurité informatique, télécharger le document sur le site de l'ANSSI

http://www.ssi.gouv.fr/uploads/2015/03/guide_cgpme_bonnes_pratiques.pdf

Un blog pour toute notre actualité

Nous ouvrons ce blog pour communiquer sur notre activité mais aussi partager des événements ou des informations liés à l'économie ou à l'intelligence économique.

Le lobbying expliqué aux étudiants en droit de l'Université d'Auvergne

Le 20 Novembre dernier, un colloque "Lobbying et normes juridiques" organisé par école de droit de l'Université d'Auvergne tentait de définir la notion de lobbying qui n'existe pas au niveau juridique et d'en expliquer ses mécanismes.

Il fut rappellé que mal considéré et perçu comme peu encadré en France, le lobbying participe du fonctionnement des institutions européennes basées sur des prises de décisions consensuelles.  Le lobbying intervant alors dans l'apport d'information préalable à toute décision. Des professionnels issus d'une grande multinationale régionale expliquaient l'importance de bien comprendre le fonctionnement et les processus de décisions des institutions européennes. Ils évoquèrent la recherche de partenaires transfrontaliers pour constituer des coalitions et  défendre leurs intérêts.

Les exemples développés  par les juristes et praticiens furent nombreux comme l'étiquettage des pneumatiques, la préparation d'un texte sur le secret des affaires, les pratiques de l'industrie du tabac ou encore les décisions juridiques pour définir les frontières entre lobbying, prosélytisme et liberté religieuse.

http://droit.u-clermont1.fr/actualites/colloque-lobbying-et-normes-juridiques.html